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On croque la "Big Apple" à pleines dents

Pour la fin de notre tour du monde, nous avons choisi de finir en apothéose avec la grandiose New-York. On comptait bien sur Aurélie pour se dégoter du boulot là-bas pour pouvoir nous héberger. Et elle l’a fait la petite. Nous avons donc posé nos valises dans Chelsea un quartier « trop stylé » de la grosse pomme.

Autre requête pour Aurélie, nous voulions faire une « roof top party » avec vue sur la « skyline » (oui il faut mettre des mots anglais un peu partout, c’est trop stylé). Et bien elle a également réussi ça. J’ai donc troqué mes chaussures de rando contre des talons mais il faut bien avouer que nous n’étions pas franchement à notre aise au milieu de l’élite française outre-Atlantique. Nous, on est plutôt du genre « routard avec un pull pas très frais et des chaussures défoncées ». Passées ces considérations stylistiques, nous sommes partis à l’assaut de cette cité mythique et il faut bien le reconnaitre, nous n’avons pas été déçu !

Ces quatre jours n’auront pas été assez pour découvrir tout ce que NY a à offrir mais nous avons pu en avoir un bon aperçu.

On peut sauter d’une matinée gospel à Harlem à un après midi promenade sur la High line, manger le plus gros cookie de sa vie aux abords de Central Park et se faire éblouir par les écrans de Time Square. On peut admirer la vue du Brookline Bridge ou alors profiter de l’air marin sur un ferry de Staten Island et admirer la statue de la liberté. On peut manger des fallafels à midi et japonais le soir. On peut s’inventer une vie à Broadway, admirer le Flat Iron, manger des burgers (oui on ne dit pas le « Ham » ici) et dormir dans un hôtel de luxe.

Bref, à New York, à l’image de notre Tour du Monde, tout est possible, on prend un shot pur de liberté, on se drogue à la vie et on célèbre l’amour. Quoi de mieux pour clôturer notre incroyable épopée que de choisir une ville à la hauteur de ces 10 mois, surprenante, multiple, enivrante, grandiose, addictive.

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